Étiquette : old school

Mind 80 #17

Mind 80 #17

It’s time to move on guys… ». Un peu comme un teufeur en mal de Techno il était temps que cette petite playlist débarque, qui plus est sous les bonnes auspices en plus. Qui dit début de printemps dit l’arrivée du beau temps : le contexte de fin d’année universitaire, le débarquement des ravers à l’affut du Kick de la région, cette période de l’année est juste le parfait pour se remettre à jongler sur du 120 BPM. Et en parlant de ça d’ailleurs j’ai une fine sélection qui devrait égayer vos soirées, comme d’habitude on surfera entre les vieux tubes Old School de chez Old School avant de s’attarder sur les quelques pépites des temps modernes. Étant donné la longue pause que j’ai du prendre pour revenir sur mes cours il y aura de la matière aujourd’hui, le plus étant que vous êtes de plus en plus nombreux à me suivre ce qui me laisse penser que peut être je réussirai à flatter l’égo de quelques uns d’entre vous. Allez on enchaine !


Plus besoin de présenter Green Velvet aux officionados de la Techno, le bonhomme a tellement marqué son époque que je vous laisse allez sur Discogs pour allez un peu plus loin. Non si j’ai choisis de mettre en première place ce fameux « Destination Unknown » c’est bien parce que ça relève du gros coup de coeur de mon enfance : à l’époque El Padre passait souvent une cassette d’un mix à Paris dans les années 90, mix qui réunissait toute la fine crème de la scène électronique de l’époque (Laurent Garnier, Jeff Mills, Carl Craig et j’en passe jusqu’au cas de Green Velvet). « Destination Unknown » est juste une petite bombe de nervosité qui fera toujours son effet en soirée. Par ses schémas très simples pourtant, Green Velvet réussis avec cette track un exploit qui ne lui est pas étranger : faire péter le soundsystem dans une foule tout bonnement hystérique. « Mission complete ».


Lhasa est un duo qui malgré un faible nombre de sortie a réussis l’exploit de faire partie de la première vague de Techno Allemande. Leur mythique tube « The Attic » avec ses sonorités très New Wave continue toujours à faire son effet : l’ambiance qui se dégage d’ailleurs des 4 minutes du titre est tout bonnement incroyable. C’est comme si vous étiez de retour à l’UFO en pleine période de réunification de l’Allemagne et que vous écoutiez pour la première fois l’Acid House de l’époque. Expression de toute une période avec ses ambiances et messages, savourez ce petit retour aux 90’s en toute simplicité.


Là j’ai touché le Graal de toute une époque. Le doux nom de « Viper » ne vous dit surement rien, et je vous rassure c’était mon cas aussi, mais croyez moi quand j’ai pu remettre la main sur « Titty Twister » c’est un peu comme si je venais de gagner à la loterie. Là encore c’est El Padre qui m’a fait écouter ce tube il y a fort longtemps : du haut de mes 7-8 piges je me souvient de ces vocals si charismatiques, de ce gros kick bien fat qui te lance dans le rythme, bref d’une petite merveille de Trance comme on la faisait si bien à l’époque. Redécouverte par grand hasard sur la planète Youtube il y a quelques semaines, j’ai toujours cet énorme smile pendant l’écoute : rien de mieux que de retomber dans les bon vieux souvenirs de l’enfance de temps en temps.


Oh oh vous pensiez le temps des gros hit de l’époque révolue ? Que nenni les gars, les chevaliers de la Tech’ auront toujours des putin de pépites à leur disposition. La preuve avec le bon vieux Phuture (trio crée par DJ Pierre) et leur mythique hymne de l’Acid House, j’ai nommé « We are phuture ». Non mais sans rire, la claque rythmique que j’ai pas prise à la première écoute c’est juste monumental comme effet. Prenez ensuite un bon zeste d’Acid House (groovebox et synths inclus) et vous avez là la recette ultime pour forcer les gens à se bouger comme des grands malades. 9 minutes, voilà le temps qu’il suffit pour semer le chaos absolue et c’est tant mieux !


D.I.S.C.O.T.A.G !!!! Florian Kupfer réitère ici une sortie audacieuse et encore une fois toujours dans une démarche simplifiée à l’extreme. Accompagné d’une poignée de machines (Roland et ses MC ou TD n’est pas loin) le bonhomme pose une vocal bien efficace. Dans la lignée de Phuture (ci dessus) il déchainera les septs enfers sur la piste et t’emmènera dans le paradis de la House et de la Techno. Je recommande l’écoute complète du maxis (I Feel You en 12’’) pour savourer la maitrise, longue vie et prospérité à l’artiste !


Pause, pause ! C’est ici que la playlist prend son tournant House, les raisons sont multiples mais j’ai de bonnes pépites à vous. Sans Kerri Chandler on peut penser que la Deep House aurait un énorme cran de retard. Heureusement le talent de l’Américain est arriver en temps voulu et a permis le développement de tout un sous genre riche de pépites. « Mommy What’s a record » se la joue tranquille comme si tu venais de rentrer d’after et que tu avais envie de te poser dans ton canapé histoire de clôturer en beauté la soirée. Rien de plus rien de moins, le morceau est épuré mais toujours aussi agréable à entendre. C’est d’ailleurs la grande force de la Deep House : la soirée ne se termine jamais….


« Do It Again » de ce bon vieux Soichi Terada te ramènera dans les bon moments de ta vie. Très énigmatique avec sa petite mélodie entêtante, le titre passe à merveille lors de tes trajets récurrents en ville. La naïveté qui se dégage du titre est d’ailleurs le point essentiel du titre, c’est cette idée d’insouciance et de simplicité qui fait tout le talent du producteur. En un peu moins de 6 minutes te voilà sur un petite nuage de douceur et c’est ça qui est juste cool, pas besoin d’en dire plus.


Moodymann, le pilier si ce n’est le dieu mythologique de la House. Déjà riche d’une tonne de sortie, le bonhomme n’a jamais perdu en qualité. Connu pour ses live et Dj set quelque peu bordéliques (mais de qualité), expliquer la carrière de Moodymann revient à faire une synthèse de Detroit dans la période 90’s/00’s. Sa musique est l’expression même de la ville, la chaleur qu’il réussit à retranscrire dans ses productions atteste de la richesse d’un genre qui perdurera à jamais. J’aurai pu choisir un tas de ses hits mais « J.A.N. » m’a semblé être un bon exemple. Les 11 minutes du titre te poseront dans une ambiance tout à fait agréable. Enfin non en réalité c’est juste le putin de pied et tu peut t’allumer ton stick, tout va toujours bien avec l’illustre Moodymann.


Même chose pour Theo Parrish, amis « discogiens » le temps est venu pour vous de vous plonger dans ses productions. Il est dur de sélectionner un seul et unique titre d’un artiste pareil, toutefois l’excellent « Friendly Children » me paraissait être le bon choix. Tu as surement du déjà entendre ce sample si énigmatique, si c’est le cas j’imagine déjà ton sourire qui se forme. Oh oui ces 11 minutes te redonneront foi en l’humanité.


Je vais faire court : Gallifré pose les bases du son à la Chicago des 80’s. Ça vous l’auriez compris rien qu’en regardant le titre, personnellement j’ai une autre vision du morceau : au lieu d’être sur ton petit nuage imagines toi plutôt au soleil, petit stick et Gin Tonic à la main, le soundsystem en plein air, la vue sur la mer, bref les conditions parfaites pour groover. Rajoutes maintenant cet excellent « Night Beats (House Rhythm) », lance toi dans le groove et si possible convie tes potes pour l’occasion. Là tu auras un semblant d’ambiance de l’époque qui te marquera jusqu’à la fin de ta vie.


On tape dans le White Label avec cet « Untitled B2 » d’un producteur inconnu. Là encore c’est parfait pour groover tranquille dans ton jardin. Le petit plus du titre c’est bien son ambiguité : très calme sur le plan des sonorités, le rythme du morceau vaut de l’or pure. Aérien comme réaliste, je discerne un putin de chapeau bas à l’artiste qui se cache derrière ces 5 minutes de génie.


Raw M.T. et sa dernière sortie ont frappé fort dans le paysage de la Techno ces temps ci. J’ai choisis « Strike » pour illustrer le talent du bonhomme et montrer qu’en 8 minutes l’artiste réussis son paris haut la main. A tout hasard si tu te retrouves en pleine « technique du spliff / spliff politics » lance ce titre et tu augmenteras tes chances d’à peu près 62%.


Allier les gros Kick d’une Techno démesuré avec le côté aérien de la Deep House c’est pas ce qu’il y a de plus facile. Je me suis pourtant royalement trompé quand j’ai écouté « Neuromance » : prépare toi à une putin de claque sismique, l’effet en soirée est juste monumental. Promis je tâcherai de tester avec la sono à pleine balle pour voir le résultat, j’ai ça en tête depuis quelques temps déjà 😉

J’espère que cette petite selection t’aura redonner foi en la sainte et douce mère « Techno ». Ma besace de titre est plutôt pleine en ce moment, mes avis que quelques chroniques et playlist vont arriver d’ici peu de temps. Allez l’amis, profites bien de ce début de printemps et prépare toi bien aux grosses teuf de l’été !

Mind 80 #13

Bud Le Vénérable

Il était temps que je sorte cette satané playlist les amis, il était grand temps. Au programme pas mal de Tech’ triée sur le volet, on ne change pas la recette gagnante après tout. Il y a beaucoup de choses que j’aurait pu rajouter dans le même temps mais je garde quelques surprises pour la suite de l’année, on est pas pressé !

Randomer était déjà présent dans ma bibliothèque depuis quelques temps mais malheur à moi j’avais oublié son excellent titre « Stupid Thing I Do ». Je me rattrape donc, mon meilleur pote m’a relancé sur le sujet et c’est ainsi que ce monstre de Techno à la Old School se retrouve en tête de cette 11ième playlist. Ta mission : encaisser les kicks bien fat de ce tube en puissance, Randomer a sorti les grosses machines pour l’occasion !

 

Toute personne qui suit un tant soit peu les Boiler Room ou autres events du paysage de l’Underground de la Techno ont entendu ce bon vieux « Model 1 » de Truncate. Utilisé par pas mal de vieux squales pour raviver les DJ Sets, cette track reste sobre et puissante et fait office de Tool parfait pour renchainer dans ton mix. Une recette classique certes mais qui dont on ne s’en lasse pas.

 

Ah ah passons maintenant à la vitesse supérieure avec cet énormissime « Corp » de Markus Suckut. Déjà entendu (et longtemps introuvable) dans la Boiler Room du paternaliste Len Faki, l’effet qui se dégage de ces 7minutes de Techno à l’Allemande est tout bonnement hallucinant. Tu te retrouves pris dans les rouages d’une machinerie prête à tout faire péter à coup de graves furieuses. Sur un bon système et à un niveau correct tu vas t’en prendre PLEIN LA TÊTE !

 

Mark Broom a des hauts et des bas en tant que producteur mais il faut lui reconnaitre une certaine ingéniosité non déplaisante. La preuve en 5minutes avec « Nucleus » : Ben Klock est lui aussi tombé sous le charmes de ces graves si caractéristiques et a pour habitude de la passer dans pas mal de ses Sets. Sans être trop agressive, cette track a l’intérêt de relancer la fête un bon coup et de motiver les troupes sur la piste. Yeah man, je perçois un semblant de Groove.

 

Finis de rigoler, l’heure est venu d’inclure une petite track de Virgil Enzinger et de son pote Submerge. « Eternal Flame » comme elle se nomme rassemble deux versants pourtant opposé : une Dark Techno puissante et à un rythme frappeur avec de l’autre côté une touche orientale non déplaisante. Pour le coup cette track te mettra directement dans l’ambiance et te lancera peut être sur les vagues de la Dark Techno, domaine vaste et remplie de tube en puissance…

 

Petite pause émotion l’ami, l’heure est venue de se poser dans ton canapé et de t’écouter « Crystal City » de Jackson Ryland. Prend le côté contemplatif de Moonin, rajoutes y un zeste de House à l’ancienne et une rythmique vraiment décente et te voilà devant un véritable petit trip auditif. Du très très bon boulot, Jackson Ryland a réussi son paris de nous transporter dans une cité futuriste en douceur.

 

Les titres de Tech House qui sortent du lot sont plutôt rares mais j’ai réussis à dégotter une petite merveille : « Roach Hotel » de Pele & Shawnecy. Inconnus à mes oreilles, ces deux gars m’ont foutu une sacré claque rythmique dans la tête. L’ambiance du titre est travaillée, la page rythmique excellente et entrainante à n’importe qu’elle heure, bref de quoi te lancer sur les starting block de la soirée l’ami !

 

Je vais faire un petit hommage au magnifique « Never Grow Old » de Floorplan (aka Robert Hood, l’un des Padre de Detroit). La touche mélodique qu’il maitrise si bien s’allie avec élégance avec la voix d’Aretha Franklin, preuve en est la track s’est déjà classé dans le top de la Tech de cette année 2014. De temps en temps une petite leçon par un grand maître du milieu ça ne fait pas de mal !

 

Ah quel plaisir j’ai pris à l’écoute de « A Ground Without a Figure ». Shuttle358 m’était pourtant totalement inconnu (et un peu trop obscur) mais je dois reconnaitre que j’ai été transporté pendant ces courtes 4 minutes. Le message est on ne peut plus simple : fait le point sur ton année, réfléchis à la suite mais ne renie pas ton passé. Gros gros merci Shuttle358 pour cette track contemplative.

 

PAUSE. S’il y a bien une énorme révélation pour l’année 2014 c’est DJ Metatron qui reçoit la palme d’or avec sa dernière sortie « U’ll Be The King Of The Stars ». Subjugué, voilà le mot pour décrire ma réaction lors de la première écoute de ses productions. Entre un travail d’orfèvre sur le mixage de ses titres, une ambiance vraiment à part dans le paysage des sorties électroniques de cette année, DJ Metatron est LE génie du même rang que Renart, un expérimentateur de haute volée qui donne le sourire après écoute. Avec « Oh Ah » et ses plus de 8minutes d’envolées, tu tombera sous le charme l’ami !

Chronique : Unknown Artist – Doge 001

Unknown Artist - Doge 001

Petite pointe de Old School aujourd’hui, je doute fortement que vous ayez entend parler du bonhomme derrière la galette dont je vais vous parler. Pourquoi donc alors ? Et bien le gars n’a tout bonnement laissé aucune information pour le suivre, juste un « Unknown Artist » histoire de dire que c’est officialisé sur un label. « Ca craint grave ton truc » tu me diras. Que nenni l’amie, c’est même tout le contraire, embarque avec moi et tu verras !

Observe petit(e) manant(e) que tu es ce cher Organ House et remet en question tes pensées préétablies. L’introduction du titre est commune dans le milieux, ne t’attend pas à quelque chose de révolutionnaire. Là ou ça commence à bouger cependant c’est au niveau de la ligne de synthé qui débarque vers le milieu du morceau. Par la suite le producteur a même rajouté quelques petits vocales qui te tenteront vite à bouger sur la piste. A titre introductif Organ House fait un sans faute : c’est le début de soirée qui commence, l’ambiance est encore fixé sur les débats entre potes, tout va bien. Fucking Bingo ! « Winter is coming ». Cold Summer Lights va mettre un terme à cette insouciance apparente du début de galette. La veine Old School est toujours de mise je te rassure, rien de troublant. Le rythme est posé, la groovebox en plein délire auditif le tout manié par la main du maitre. Après l’introduction c’est bien à une transition que tu dois faire face, les 5 minutes du titres laissent clairement entrevoir ce petit message tout doux. Mais bon, derrière tout ça tu commences à méditer et je vais t’apporter de quoi te rassasier pleinement. Imagine toi dans un banquet remplis de Skekses tout plus repus les uns que les autres. La nourriture, le bon cône, le siège bien feutré, bref du grand bonheur digne d’un empereur des temps modernes. Get Up se lance timidement mais tu sais que la track va faire son effet. C’est une certitude même. Cette putin de boucle qui accompagne la totalité du titre va même raisonner dans ton petit crâne pour l’éternité. Du côté rythmique c’est un sans faute total, le précédent cadre feutré t’entraine sur la vague du début d’été en douceur, ça groove comme il se doit. Les plus barrés d’entre vous tomberont sous le charme de cette pépite c’est moi qui vous le dit ! Difficile de faire mieux pour la suite d’ailleurs. Way With Her surf sur le côté Deep House du maxi, l’idée de base étant bien présente mais sa maitrise quelque peu déconcertante. L’expérimentation avec les vieilles MC 303 ou autre MC 909 a bien des limites l’ami, il faut savoir rester clair dans ses projets. Et c’est bien là le problème de cette dernière track : au lieu de conclure en beauté la galette Way With Her est plus un joyeux méli mélo d’expérimentations en tout genre. La partie mélodique résolument planante pourra tout de même plaire aux « officionados » du genre. Mais ne nous plaignons pas, 1 sans faute pour 3 grosses claques ça fait toujours plaisir !

 

PS : Le maxi est dispo’ sur plusieurs sites (je vous conseille pour ma part le bon vieux Decks) donc n’hésiter pas à passer commande.

Mind 80 #9

Ampli Gryphon

« 21 Mai 2014, tu attends les résultats des partiels du second semestre avec grande hâte. Le stress de l’après-bataille se fait ressentir mais tu demeures de marbre, tu ne dois pas craquer. Tu commences à… ». Bref, sort toi ces idées à la con de ton crâne et écoute plutôt la petite playlists du mois, tes neurones apprécieront.

Démarrons en puissance avec Morpho de Marcus Zenker. Il a beau être jeune le bonhomme nous livre un pure titre « techno old-school », titre qui s’accompagne en plus d’un très bon clip en hommage au célèbre Trésor (club mythique en Allemagne pour les intimes). C’est épuré, rythmiquement « maitrisé enfin bref du grand art pour tout amateur de techno qui se respecte.

 

Moonin va te donner ta dose de mélancolie c’est moi qui te le dis. Le producteur a samplé pour l’occasion le célèbre Deep Burnt de Pepe Bradock et a rajouté sa sauce mélodique derrière. Le résultat final est surprenant, le genre de morceau à s’écouter face à la mer avec un bon casque, un petit verre de rouge en main.

 
Tout le monde connait Todd Terje à l’heure ou j’écris ces lignes. Ça s’est fait par le biais de son célèbre « Inspector Norse » ou bien avec d’autres morceaux mais dans tout les cas on peut dire que le Norvégien maitrise la totale : Nu Disco, House, j’en passe tellement le rayon est grand. Son édit de Dub Like An Egyptian (à l’origine composé par The Bangles) renforcera juste cette idée dans ta petite tête. C’est le début de l’été donc prépare le barbecue et toutes les sauces qui vont avec !

 

C’est bien a des moments de ne pas avoir à expliquer les choses. Tout ce que je sais sur ce titre (et même les autres morceaux du maxis) c’est que ça fait son effet : ça « groove » comme dirait l’autre. Bref lance ton aprem’ avec ça et tout iras bien. Enfin n’oublie pas de t’en couler une petite avant, c’est encore mieux crois moi.

 
Un jour comme les autres je me lance dans une énième recherche sur le net. J’en ressort vaincue, juste un petit maxis attrapé par hasard mais rien de plus. J’oublie vite et je passe à autre chose. Grosse erreur que j’ai fait là, quelques semaines plus tard « El Padre » me ressort le même maxis (que je lui avais filé par clé USB sans faire gaffe). Si tout les titres de la galette sont franchement fun, celui qui a le plus retenu mon attention c’est bien Kivelenge (The Busy Twist Remix) des Kalambya Boys. Allez l’amie, embarque toi pour les caraïbes !

 

Subjected m’était encore inconnu il y a peu de temps. C’était sans compter quelques excellentes playlists Youtube qui regorgent de merveilles en matière de Techno. Si tu kiff les frelons/guêpes qui attaquent une ruche d’abeilles (snif) et qu’en plus de ça tu as envie de ressentir le pouvoir du caisson alors fonce sur Nastes.